Gangs du Wall Market

Elle trouve son compte dans le troisième plus grand territoire du Wall Market et travaille en étroite collaboration avec le Gouvernement de la Cité. Les Jīn láng possèdent différents accords mis sous silence et c'est principalement grâce à ce partenariat que le gang peut s'adonner à sa pratique de prédilection : le trafic d'êtres humains.
En échange, le gang falsifie les votes gouvernementaux aux profits des dirigeants, notamment lorsqu'un traité est proposé pour une nouvelle avancée technologique.

◘ Certains sujets d'expériences dans le laboratoire du Gouvernement sont livrés aux Jīn láng par des convois souterrains afin que l'Avant-garde et ses hommes soient chargés de traiter la livraison. La marchandise est ensuite contenue dans une salle commune aux allures de cage géantes et les humains y sont dressés par des spécialistes (souvent des membres de gangs étrangers) afin d'en faire des esclaves, revendus ensuite à des particuliers.

◘ Les conversations ne sont pas toujours au rendez-vous dans cette mafia, car les adeptes parlent principalement avec des signes. Le placement des doigts et le regard deviennent des armes d’expression largement utilisées. Elles permettent de lutter contre la puce de traduction devenue de plus en plus courante et accessible.

◘ L’intronisation d’un nouveau membre répond à une cérémonie particulière. On décapite un coq dont le sang est mélangé à un breuvage alcoolisé. Le futur nouveau membre jure alors de rester fidèle à la société. Puis, il s’entaille un doigt et verse quelques gouttes de son sang dans la décoction préparée. Tous les membres présents trempent leurs lèvres dans la coupe afin de sceller sa promesse.

◘ Les femmes sont souvent les principales victimes du code d'honneur traditionnel, lorsqu'elles ne respectent pas leur « honneur », tel que l'imposent les règles de leur société traditionnelle, en particulier pour des questions liées à des relations sexuelles (tabou de la virginité par exemple.)

◘ La Tête de Dragon choisit, tous les ans lors du nouvel an Chinois, une ou un nouvel/le époux/se. Traditionnellement, la célébration durera 16 jours, du Réveillon (11 Février) à la Fête des lanternes (26 Février.) Nommé/e sur recommandations par les trois gérants les plus influents que sont le Salon de Thé à Chats, le Salon de Massages et le Shangai tout le monde peut également prétendre au poste de concubine ou concubin de la Tête de Dragon et devront vivre dans son Palace Doré avec lui ou elle jusqu'à la prochaine nomination. Cependant, ces derniers doivent obligatoirement recevoir leur recommandation d'un des trois gérants, puisque ces derniers connaissent les goûts de leur Chef suprême.

Ainsi au nombre de trois maximum présenté.es à Lung Tau, ce dernier choisira celui ou celle qui sera sa compagne ou son compagnon. Il peut même les tester et joue en général avec chacun d'entre eux durant ses seize jours afin d'affiner son choix, demandant généralement des prestations sexuelles.

◘  Être l'époux/se de Lung Tau est un honneur non seulement pour les personnes sélectionnées, mais aussi pour leur famille. Lorsque quelqu'un est choisit, lui et sa famille sont couverts d'or à vie.

Principales :
- La corruption ainsi que la contrefaçon de bulletin de votes.
- Trafic d'être humains : Dressage pour en faire des esclaves.

Secondaires :
Trafic d'héroïne, la fraude à la carte bancaire, les homicides...

Chaque fonction correspond un code chiffré que l’initié exprime par un simple geste.

La « Tête de dragon » (Lung Tau - 489)
Donne les grandes orientations à son groupe. Seule une poignée de membres connaissent son identité.
Il a un adjoint direct, le sous-chef ainsi que deux autres dignitaires portent le même numéro : L'avant-garde ainsi que le Maître des encens.

Le « Sous-chef » (Fu Shan Chu - 438)
Il est le plus proche de la Tête de dragon et est destiné à lui succéder, ce dernier étant bien souvent un membre de la famille de Lung Tau.

L' « Avant-garde »
Chargé des opérations.

Le  « Maître des encens » (Hueng Chu)
A la tâche de recruter les membres et est aussi le gardien des traditions.

Comité des officiers : Il est composé de cadres chargés de diverses missions.

L’« Éventail de papier blanc » (Pak Tse Sin - 415)
S'occupe des finances et en est le conseillé.

Le « Bâton rouge » (Hung Kwan - 426)
Spécialiste en arts martiaux, se charge du respect de la loi interne ainsi que de la sécurité.

La « Sandale de paille » (Cho Hai - 432)
Est délégué aux affaires et relations extérieures du groupe.

Piétaille : Bas de l'échelle. Les membres les plus nombreux sont les « soldats » qui constituent le bras armé de l’organisation.

Les « Soldats » (Sze Kau tsai - 49)
Ils exécutent toutes sortes de tâches et sont facilement sacrifiables, eux-mêmes acceptant d'endosser le rôle par pur honneur. Ils doivent exécuter l’ensemble des ordres et s’occupent des transactions douteuses. Ils prennent donc le plus de risques. Les officiers ont un grade supérieur puisqu’ils doivent gérer les soldats ainsi que leurs actions.

- Les postulants qui n’ont pas encore été initiés sont les « lanternes bleues » et n'ont pas encore de numéros.

Le Shangaï : Ce salon de thé tout à fait classique, propose des services à table de breuvages typiquement chinois. Les chats peuvent être caressés, brossés et choyés. La Jīn láng utilise certains d'entre eux pour livrer de la came aux autres Secteurs en toute discrétion.

Ces 36 obligations sont à respecter à la lettre pour ses syndicats du crime. Il s'agit d'un rituel religieux qui s’opère sous la houlette des dieux, au nec plus ultra de la manipulation psychologique puisque cela inclut des forces obscures qui surveilleront en permanence la loyauté et l’obéissance des soldats de la mafia chinoise. Cependant, ses règles sont encore floues, même intra-Jīn láng et une rumeur circule comme quoi la Tête de Dragon change ou modifie les obligations selon son humeur sadique.

Plus grand quartier du Wall Market, les Russes se placent cependant en seconde position, juste après la Triade, en terme de grandeur et de puissance. Leurs quartiers résidentiels sont accessibles mais beaucoup de patrouilleurs surveillent les frontières de sorte à contrôler ceux qui y circulent, et de leur faire payer des services de protection, car "on ne sait jamais ce qu'il pourrait arriver."

Il en va de même pour les Entreprises implantées chez eux, qui leur doivent le « krysha » ce qui veut dire en russe "toit" et qui désigne un impôt offrant en échange d'une protection forcée, puisque ces entreprises non reconnues essaient de ne pas payer de taxes et tentent d'échapper à la pression fiscale afin de réussir à survivre. Elles sont donc illégales et nécessitent la protection de la mafia contre les instances gouvernementales.

◘ Les membres de la Podolskaïa raffolent des tatouages. Ces derniers racontent leur vie de mafieux. Chaque tatouage a une signification précise et retrace la carrière de l'homme, ses spécialités, le nombre de victimes, pour quel crime etc. Souvent lyriques, mystiques ou menaçants, ils sont sensés porter chance ou parfois malheur. Dans le deuxième cas, le mafieux n'hésitera pas à taillader le tatouage incriminé au couteau. Souvent, les mafieux russes possèdent des étoiles à cinq branches aux genoux pour signifier qu'il ne se mettront jamais à genoux devant quiconque.

Voici d'autres exemples de tatouages et leur signification :

Une épée enlacée d'un serpent : réservé au Pakhan.
Une bougie avec la mention « Vita brevis » : cambrioleur et racket.
Un aigle aux ailes déployées tenant une valise dans ses serres : tueur.
Un cerf au galop avec la mention « Homo liber » : proxénète.

◘ Utilisant un argot russe dans leurs conversations, cet argot a la particularité d'être en perpétuelle évolution. Il est enseigné au mafieux à son arrivée, il ne faut jamais cesser de le pratiquer. Moyen de lutter contre la puce de traduction, un arrêt de pratique de plus de 6 mois est fatal.

◘ Les règlements de compte et meurtres sont souvent d'une grande violence. La Mafia Russe est réputée pour avoir l'habitude de pratiquer des actions brutales et de commanditer des exécutions à l'encontre des balances, des traîtres et de tout ceux qui se sont retournés contre eux. Régulièrement, elle n'hésite pas à tuer l'individu qui a « vendu la mèche » mais également à faire massacrer sa famille. De même, elle élimine les concurrents trop gênants.

◘ Commence de viande : La Podolskaïa tient un restaurant devenue l'attraction principale de leur activité mais aussi d'une partie du Wall Market. Privés de viande dans les bidonvilles et réputée hors coût sur les Plateaux, les Russes offrent toutes sortes de viande au menu à leur client. Ressources humaines, les Russes ont l'habilité de faire provenir leur produit d'ailleurs.

◘ Recrutement : L'organisation tend à recruter plus facilement parmi différentes ethnies, en faisant l'un des gangs les plus cosmopolites, leur code de conduite se chargeant de faire régner l'ordre. Avant de se faire recruter, il faut avoir fait ses preuves soit via une épreuve (comme un assassinat) ou bien en ayant été « shestiorka » à savoir apprenti, pendant 2 à 3 ans sous les ordres des blatnoïs.

À noter que les femmes sont traditionnellement bannies des structures de décision ou même d'exécution (hormis via la prostitution). Même après des années d'évolution, la mafia russe reste très macho.

◘ Évolution hiérarchique : Elle se fait au mérite. Si le Pakhan pense que vous serez meilleur que votre Brigadier, il le fait exécuter et vous donne son poste. Prendre la place de Pakhan n'est possible qu'à la démission volontaire ou la mort de celui-ci.

◘ Relations commerciales : Envers les autres gangs, la Podolskaïa entretien et est attachée à de bons rapports commerciaux pour lesquels ils se présentent comme prestataires de service, plus que comme concurrents. De plus, la cruauté et le sens de la vengeance sans demi-mesure des russes est proverbial.

Principale : Trafic d'organes : marché noir.

Secondaires : Racket, extorsion, prostitution de luxe, trafic de drogue, tueur à gages, trafic de voitures volées, enlèvements.

« Pakhan »
Parrain de l'organisation.

« Pervyy Vernyy »
Premier Fidèle. Il est étroitement surveillé et contrôlé afin qu'il ne prenne trop d'importance et qu'il ne représente une menace directe pour le parrain.

« Skumbriya »
Maquereau, chargé du recrutement des prostituées.

« Brigadiers »
Chefs d'équipes.

« Blatnoï »
Soldats. Ils rendent des comptes aux Brigadiers. Ils sont équipés d'excellentes armes et bénéficient très souvent de véhicules et protections haut de gamme.

« Shestiorka »
Apprentis qui sont formés par les Blatnoïs. Leur formation a une durée effective de six mois, mais elle peut aussi durer plus, majoritairement en fonction des capacités du novice.

- Puis vient le reste de la chaîne, les simples prostitués, les revendeurs de voiture de luxe qui jouent un rôle tout aussi important dans la structure de la Podolskaïa. À noter qu'un membre peut avoir plusieurs spécialités en même temps.

Colisée : Cette géant arène de combat est principalement utilisée à but divertissant. Les Russes apprécient y organiser des paris tous les soirs. Ce sont des combats à mort qui permettent d'obtenir une certaine réputation ainsi que d'un bon butin. Il n'est pas rare que le champion en titre continue de dominer le terrain jusqu'à se faire lui-même renverser. De temps en temps, des soirées à thème sont organisées comme des combats à l'arme blanche, avec timing ou toujours à mains nues mais les yeux bandés.

1. Un membre de la Podolskaïa ne peut parler de ses complices, de ses plans et de ses planques qu'à un autre membre du gang.
2. Un membre de la Podolskaïa doit savoir parler l'argot de la Podolskaïa.
3. Un membre de la Podolskaïa peut se battre avec ses supérieurs pour obtenir leur rôle, mais il ne devra jamais s'attaquer au Parrain.
4. La loyauté est aussi primordiale que le silence. Ainsi, un membre de la Podolskaïa préféra se faire torturer plutôt que d'avouer ses méfaits ou des indices concernant son gang.
5. Un membre de la Podolskaïa n'hésitera pas à se faire sauter avec une bombe plutôt de vendre la mèche.
6. Un membre de la Podolskaïa voit les autres membres comme une famille. La Kentovka, (famille) passe avant les intérêts personnels.

Il s'agit d'un gang Hispanique, regroupant ainsi les Espagnols mais aussi l'Amérique Latine. Ce sont des prédateurs nocturnes à la vue, à l'ouïe et à l'odorat très développés. Par ailleurs cette définition en vaut leur nom car Garduña signifie "Fouine." La structure de la Garduña semble être copiée sur celle des confréries religieuses puisqu'elle se voit comme une grande fraternité. Si elle est aujourd'hui l'une des troisièmes puissance du Wall Market, c'est principalement grâce à la pharmacie qu'elle détient en son pouvoir.

◘ Croyants et sont majoritairement Chrétiens, l'église du Secteur 5 est l'un des endroits où certains membres s'y recueillent pour parler à Dieu et obtenir sa mansuétude. Tous les dimanches matin des groupes s'y réunissent quotidiennement et se mêlent au citoyens dans une trêve générale. De manière générale, ils tuent en toute impunité les ennemis de la Foi. Cependant, tous les membres ne sont pas des religieux accomplis et si la Garduña les accepte dans leurs rangs tant qu'ils sont loyaux, certains adeptes convaincus essayent toujours de leur laver le cerveau.

◘ La confrérie se présente comme un ordre religieux, s'arrogeant le droit divin de voler et assassiner. En tant que société ésotérique, elle n'aurait eu semble-t-il ni documents écrits ni statuts, ses règles étant communiquées par la voie de l'initiation puis par les montées en grade. La trahison de ces règles non-écrites auraient été punie de mort. On affirme que certains membres de la fraternité auraient été exécutés pour avoir agi sans autorisation préalable de leurs maîtres.

◘ Avant de prendre une décision quelconque, les affidés interrogent la Bible selon l'antique méthode de la bibliomancie, qui consistait à ouvrir le livre saint au hasard et à interpréter le message ainsi désigné.

◘ La Garduña est décrite comme une société imprégnée de mystère et d'ésotérisme, comprenant serments et rites d'initiation connus seulement des membres qui en font partis. Ce rite de passage permettent de lier l'individu au groupe mais aussi de structurer sa vie en étapes précises qui lui permettent d'avoir une perception apaisante de la condition mortelle de l'homme. En cela, ils participent à la symbolisation du monde pour le rendre plus familier, d’où leur caractère pacifiant et soulageant. Ce phénomène est donc un enjeu important pour l'individu, pour la relation entre l'individu et le groupe et pour la cohésion du groupe.

◘ Loyaux et surtout guerriers de paroles, si la Garduña déclare qu'un homme va être assassiné tel jour à tel endroit, on retrouvera immanquablement son cadavre au jour et au lieu dit.

◘ Lors des combats, les unités adoptent un cri de guerre "Muerto a los marranos !" soit Mort aux Porcs en références à leur histoire des années passées, bien avant l'effondrement du monde et donc la construction de la cité industrielle. Tout comme les autres gangs, ils ont gardés certaines de leurs anciens traditions avant de s'imposer au Wall Market.

◘ Les membres de ce gang ont un signe de reconnaissance de trois points tatoués dans la paume de la main.

Cambriolages, attaques à main armée, narcotrafics, trafic de médicaments et d'armes, faux témoignages lors des procès, falsification de documents, recel.

« Hermano Mayor »
Frère Major. Sa parole est la loi et sa discipline de fer en impose, transformant peu à peu sa société de guerriers en mafia. Il a sous ses ordres deux contremaîtres.

« Contremaître »
Chacun dirigent deux catégories différentes de malfaiteurs : les punteadores essentiellement des assassins ou des hommes de bras et les floreadores principalement des voleurs.

« Punteadores »
Les "gros bras" capables de tous les mauvais coups. Ils forment le pivot des commandos d'attaque et sont appelés, les hommes d'épée.

« Floreadores »
Voleurs discrets et nocturnes, ils sont maîtres dans l'art de ne laisser aucune trace d'eux sur leur passage.

« Guapos »
Meneurs d'équipe.

« Magistri »
Chefs religieux, cumulant des fonctions administratives et cléricales.

« Químico »
Ce sont les chimistes qui sont chargés de fabriquer les médicaments ainsi que la came.

« Sirenas »
Traduisible par sirènes, c'est jeunes filles pauvres, souvent orphelines, se font passer pour des femmes du monde et sont des prostituées. Elles sont sources d'informations pour les délinquants.

« Chivatos »
Novices de toutes classes, qui peuvent aussi être de simples trafiquants sans avoir l'ambition d'évoluer dans la hiérarchie. Ils peuvent aussi jouer le rôle d'espion dans certains cas.

Pharmacie : Colonisant la seule pharmacie de tous les Bidonvilles, la Garduña s'impose grâce aux médicaments et autres "potions" divines qu'elle fabrique pour les habitants. Le coût des médicaments étant bien trop onéreux sur le Plateau, les gens regagnent un semblant d'espoir à acheter des médicaments de seconde main. Cela dit, rien ne garantie le résultat car les chimistes du gangs n'ont pas les qualités nécessaires pour s'enorgueillir, leur mélange souvent fait à l'aveuglette.

1. Bon œil, bonne oreille, bonnes jambes, savoir tenir sa langue.
2. Protéger les femmes persécutées par la Justice.
3. Les chivatos ne pourront pas, dans leur première année de noviciat, monter des opérations seuls.
4. Les punteadores se chargeront des opérations les plus importantes.
5. Les floreadores vivront de leurs mains et recevront un tiers de leurs butins. Ils laisseront une somme pour les âmes du purgatoire.
6. Les sirenas conserveront pour elles les présents offerts.
7. La règle ultime sera: "plutôt mourir en martyr que de trahir"

Le nom du gang signifie « ce qui est à nous » ou « notre chose » en italien. Une part grandissante de leur activité se tourne vers le blanchiment d'argent au travers d'opérations financières illégales, ainsi que l'escroquerie à l'assurance, l'usure et le recel. Ils perçoivent des impôts sur les commerçants de leurs territoires et leur assurent protection total.

◘ Les steses (descentes armées sur des territoires ennemis) sont utilisés pour marquer son territoire. Littéralement, cela signifie "je suis là." Territoriaux, les membres de la Cosa Nostra ne tolèrent pas que les autres gangs viennent pour commander chez eux ou agrandir leurs territoires, sous peine de les voir débarquer, flingues en main, mort inévitable. Le message est chacun chez soi.

◘ De nombreux enfants et adolescents se baladent avec des armes qu'ils achètent chez eux, ces derniers ne faisant pas parti du gang. N'ayant même pas de Code d'honneur du fait du décalage générationnel, ceux-ci pensent au mérite en allant faire régner la loi chez les Italiens. Mais les membres de la Cosa Nostra n'ont aucun scrupule à les descendre.

◘ L'omertà : la loi du silence imposée par la mafia (« Je ne vois pas, je n'entends pas, je ne parle pas »). Les non mafieux ont peur des représailles qui attendent celui qui parlerait. Cette loi implique que la personne trahie doit tuer le coupable.

◘ Il pentito : littéralement un « repenti », c'est-à-dire un ex-mafieux qui accepte de rompre l'omertà et de collaborer avec la justice en donnant des informations à la Milice, cela en échange d'une protection policière et d'une réduction de peine.

◘ Les membres de la famille élisent le chef de famille. Celui-ci est assisté par un "conseiller", d'ordinaire une personne âgée ou du moins tenue en haute considération pour sa sagesse, et est aidé par un ou plusieurs vice-chefs choisis par le Boss.

◘ Le recrutement se fait par un rituel d'affiliation qui consiste à faire un serment de fidélité à la "Cosa Nostra." En présence de trois membres influents du Gang. Le néophyte prend entre les mains l'image du Boss, la mouille avec le sang qui coule d'une piqûre d'aiguille, brûle l'image en continuant de la tenir dans la main et termine le serment par cette phrase : "ma chair doit brûler comme cette image si je ne demeure pas fidèle à mon serment"

Trafic d'Alcool, Criminalité, Fraude aux assurances, Hacking de Crédits.

Cosa Nostra est hiérarchisée de manière pyramidale, comme la grande majorité des mafias. Cela dit, pour les hauts rangs de celle-ci, tout est une histoire de famille.

« Boss »
Chef de la Cosa Nostra. Chef du clan, de la Famille, principal bénéficiaire de toutes les entrées financières et gérant de l'Organisation. Dans cette Mafia, le Boss arrive à cette place par hérédité, par le sang, il est rare qu'un second couteau monte les échelons jusqu'à une place telle. Il détient le pouvoir sur son clan, ordonne à ses caporaux, aux soldats. Il a une autorité incontestable dans sa Famille.

« Sous-boss »
Le Boss peut avoir un immense territoire à diriger, c'est pourquoi il nomme des Sous-boss qui sont un peu ses représentants et qui peuvent prendre des décisions pour lui sur un territoire bien précis. Ils récoltent les fruits financiers des activités sur leur territoire et remettent son tribut au Boss. Ils ont une autorité immense sur leur territoire mais il ne faut pas en oublier pour autant que c'est Le Boss qui tient les reines. Les Sous-boss sont un peu dans une sorte de féodalisation de la Mafia où ils sont comme des Seigneurs exerçant leur pouvoir sur leurs fiefs mais toujours aux ordres du Roi, Le Boss.

« Caporaux »
Ils sont le lien direct entre la haute société mafieuse et les exécutants, ils s'occupent de gérer les affaires et remettent l'argent au chef de la Famille. Ils ont un peu le même rôle qu'un Sous boss mais sont plus des hommes qui agissent sur le terrain. Un Sous Boss dirigera son fief sans être pour autant constamment disponible. Le Capo lui est le chef de terrain, il est présent, il dirige les soldats et les lieutenants et récupère les profits. Il gère les équipes mafieuses et est chargé de remettre le salaire aux affranchis sur le terrain.

« Lieutenants et Soldats »
Sur les territoires, les affranchis sont organisés en plusieurs équipes, équipes affiliées à son Capo. Le Soldat est le premier pas dans l'échelle de l'Organisation, le Soldat fait partie de la Famille, c'est à la base un externe qui a fait ses preuves ou un "Giovane d'honore" (= terme pour désigner celui qui appartient déjà à la Famille par naissance.) Le lieutenant est juste un soldat un peu plus élevé qui dirige un peu l'équipe sur le terrain et qui a la confiance du Capo.

« Externes ou Associés »
Ils n'appartiennent pas à la Famille, mais ce sont les plus nombreux. Commerçants extorqués, hommes d'affaires ou flics corrompus, juges, avocats..... Ils travaillent en collaboration pour une Famille sans appartenir à cette dernière.

Club de Gym/Musculation :

1. Le voleur doit tourner le dos à sa famille (mère, père, frères, sœurs). La communauté criminelle est sa seule famille.
2. Un voleur n'a pas le droit d'avoir de famille (femme et enfants).
3. Un voleur n'a pas le droit de travailler, il ne peut vivre que du fruit de ses activités criminelles.
4. Un voleur ne doit livrer d'informations sur des complices et leur point de chute que dans la plus grande confidentialité.
5. Si un voleur fait l'objet d'une enquête, l'autre voleur doit prendre la responsabilité de le « couvrir », de lui laisser le temps de s'enfuir.
6. Lorsqu'un conflit surgit dans un groupe criminel ou entre voleurs, une rencontre doit être organisée pour résoudre le conflit.
7. Lorsque cela est nécessaire, un voleur doit participer à cette rencontre pour juger un autre voleur, si la conduite ou le comportement de celui-ci apparaissent critiquables.
8. La punition à l'égard du voleur, décidée lors de cette rencontre, doit être accomplie.
9. Un voleur doit être à même de parler l'argot des voleurs.
10. Un voleur ne doit pas prendre part à une partie de cartes s'il n'a pas l'argent nécessaire pour payer.
11. Un voleur doit enseigner son « art » aux novices.
12. Un voleur devrait toujours garder sous influence un novice.
13. Un voleur ne doit pas perdre sa lucidité lorsqu'il boit de l'alcool.
14. Un voleur ne doit jamais, en aucun cas, se lier aux autorités ; un voleur ne participe pas à la vie sociale ; et un voleur ne doit pas participer à des associations sociales.
15. Un voleur ne doit pas accepter d'armes de la part du Gouvernement et ne doit pas servir dans l'armée.
16. Un voleur doit remplir toutes les promesses faites à d'autres voleurs.
17. Un voleur tuera obligatoirement si l'un des siens est tué.

Il s'agit d'un gang Irlandais qui peut aussi regrouper ceux du Royaume-Unis et de l'Australie. Dernière puissance et gang possédant le territoire le plus petit, ils sont cependant plus indépendant, tirant profit de leur discrétion pour abattre tranquillement leurs cartes. Faible en terme de nombre, mais imprévisibles, ils offrent leur service de protection aux civils des Bidonvilles, produisant ainsi le travail de la milice qui agit peu en bas. Ainsi, en cas de guerre des gangs, ils peuvent bénéficier de leur aide temporaire pour renforcer leur rang. Comme ils ont des connexions dans tout leur quartier ainsi que dans des Secteurs des Bidonvilles, ils donnent l'impression d'être une armée, alors, qu'en réalité, ils ne sont qu'une petite soixantaine de membres.

◘ Ils veulent faire face au Gouvernement, mais, étant donné leur structure est trop petite et qu'ils n'ont pas les fonds nécessaires, ils n'hésitent pas à collaborer avec des groupes de terroristes. Les autres gangs, quant à eux, ne veulent pas y être associé et se mettent en retrait, préférant garder ce qu'ils ont pour acquis.

◘ Peu unifiés et quelque peu désorganisés, les Irlandais tiennent plus que tout à leur indépendance. Toutefois, leurs origines communes et leur réputation de sanguinaires les aident à se toujours se rassembler. Nul doute que sous les ordres d'un chef compétent leurs atouts soient davantage redoutables.

◘ En général, ils ne respectent personne, peuvent faire ami-ami avec un membre d'un autre gang avant de lui tirer délibérément dans le dos ou de lacérer une tête avec une bouteille de Whisky cassée. Ils peuvent tuer pour rien contrairement à leur voisin Italien qui, eux, tuent toujours pour une raison.

◘ Du fait qu'ils possèdent le plus petit territoire et même si le quartier est tout de même assez grand, tout le monde se connaît ou connaît le frère d'un autre, une sœur, un oncle ou une tante. Les Irlandais veuillent les uns sur les autres, comme une grande famille et savent tenir leur langue.

◘ La presse ne fait pas grand cas des Irlandais, car leur organisation n'intéresse personne, et se focalise davantage sur la Cosa Nostra par exemple, car c'est plus chic d'être un malfrat Italien, Russe ou Japonais. De ce fait, les Irlandais peuvent agir plutôt à l'abri de leur regard. Même si leur fierté en prend un coup puisqu'on semble les estimer indignes de s'identifier comme une Mafia ou qu'on les prend à la légère, ils savourent le fait d'être sans aucun obstacle et on développé une affaire d'usure.

◘ Lira utilise une chaîne de commandement précise. À but stratégique, elle permet d'assurer la suite du commandement lorsque le Capitaine meurt dans un assault par exemple et de ne jamais laisser les troupes sans dirigeant. Ainsi, l'opération a des risques amoindrit d'échec à cause du décès du chef principal.

◘ Les activités de ce groupe sont diverses et variées, ils sont partout et nul part, n’importe qui peut être leur yeux marionnette comme il peut être leurs yeux. La contrebande reste aujourd’hui l’une des activités phares. Le peu de moyens dont ils disposent ne leur permet pas de concurrencer les autres gangs sur bien des domaines de production c’est pourquoi ils n’hésitent pas à entrer en guerre avec les autres et leur voler leur marchandises ainsi que leur business.

◘  Lira est d’ailleurs sans doute le seul groupe qui ne coopère absolument sur aucun point avec les autres et fonctionne de manière chaotique. Impossible de prévoir leur actions et encore moins de parlementer avec eux.

Vêtements de contrefaçon, marché du jeux de hasard, vol de camion de marchandises, trafics en tous genres, contrebande.

Les rangs actuels du groupe se réfèrent à la mythologie celtique afin de se différencier des idées des deux extrêmes diamétralement opposés qui ont composé le groupe d’origine. Un certain nationalisme persiste tout de même.

«Lug»
Le grand dirigeant du groupe, généralement très discret, peu de personnes au sein même du gang connaissent sa véritable identité.

«Claiomh»
Littéralement épée en irlandais. Trois haut gradés qui disposent chacun de leur équipe spécialisé dans plusieurs catégories. High Claiomh, le groupe spécialisé dans la contrebande, Shadow Claiomh le second groupe spécialisé dans les sabotages et enfin Shark Claiomh le groupe le plus violent spécialisé dans le vol et les attaques contre les autres.

«Capitaine»
Le capitaine est le premier chef d'équipe qui est à la tête des commandements lors des attaques groupées. Régit par une chaîne de commandement précise, s'il meurt, un second prend le relai etc. On appelle couramment cela des maillons de commandement. Ainsi le premier est le capitaine ou 1er maillon, suivit du 2ieme maillon etc.

«Espions et Traqueurs»
Comme tout groupe, celui-ci ne fait pas exception à la règle et dispose d’espions plus ou moins formés avec les ressources du bord afin qu’ils opèrent ailleurs et puisent les informations au sein des autres gangs. Les Claiomh mettent cependant plus de moyens dans le service de contre-espionnage appelé les Traqueurs qui lui est formé avec des méthodes plutôt discutables pour attraper toute personne tentant de voler les informations internes.

Le Celtic : Casino géant proposant également des dégustations de véritables bières irlandaises, les machines ressemblent à celles semblables au Gold Saucer trouvables dans l'un des Secteurs des Plateaux de part leur aspect technologique avancé. Cependant, il n'en est rien et aucune machine n'a réellement connu d'autres vainqueurs que des "acteurs" Irlandais prétendant avoir décroché un butin afin d'insister les joueurs à dépenser.

Tout le monde pense que le QG du groupe se trouve au Celtic, mais ce n’est qu’une illusion, pour un groupe aussi organisé ils n’ont pas de véritable QG hormis un endroit connu seulement du Lug et de ses Claiomh, pour le reste des réunions les endroit varient selon un cycle spécifique, ils ont au total huit lieux de réunion.

1. Tu ne balanceras pas sous peine de représailles.
2. Si on ne se mêle pas de tes affaires, tu en feras autant.
3. Tu ne créeras pas de gang rival au tien au sein de ton propre gang.
4. Tu répondras présent à toutes les convocations du Président.
5. On ne fonctionne pas selon un cérémonial ou des règles excessivement codifiées, nous sommes majoritairement libres.
6. Notre cause est plus noble que celle des autres et nous ne sommes pas un vulgaire gang.
7. Tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins surtout en territoire ennemi.
8. Hésiter c’est mourir.