Angelo Romero || Quelle sera ton humeur aujourd'hui ?
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Angelo Romero
Our rules are our honor
Angelo Romero
Métier :
Membre d'un gang
Messages :
50
Membre d'un gang50
ANGELO ROMERO
« La fortune et l'humeur gouvernent le monde. »
Âge : 18 ans
Genre : Homme
Métier : Membre (Chivato) de la mafia hispanique, Garduña
Taille : 1m65
Corpulence : Sous sa stature fine, voire fragile, il cache le fruit d’un entraînement physique quotidien qui lui permet de se défendre et de faire ce qu’on lui demande au sein du gang.
Cheveux : Violets/Fuchsias
Yeux : Bruns clairs
Signe(s) particulier(s) : Malade, lunatique, trois points tatoués dans la paume de la main et couvert de cicatrices diverses provenant de son passé en tant qu’expérience.
Plateau / Bidonville : Bidonville
Secteur : Wall Market
Implant : Cornéen
200x320


Traits de caractère


Actif
Aidant
Assidu
Attentionné
Authentique
Autonome
Combattif
Courageux
Digne de confiance
Intelligent
Loyal
Naturel
Protecteur
Sincère
Sociable
Bagarreur
Borné
Cachottier
Lunatique
Coléreux
Impatient
Impulsif
Rancunier
Sensible


Description
   Q : Bonjour Angelo. Nous allons commencer cette petite interview avec cette question : quels sont vos passe-temps ?
“Vous me posez une colle, là… Put-…!  Euh… Comment répondre à cette merde ? Est-ce que passer du temps avec des gens ça compte ? ”

   Q : Eh bien, nous vous demandons surtout si vous aimez faire quelque chose. Donc cela peut être un peu tout et n'importe quoi.
“Si c’est le cas… Je dirais que j'aime sortir avec des gens que j’apprécie, m'amuser avec eux, sortir…  J’aime aussi manger.”

   Q : Je comprends. Du coup, si vous saviez que vous alliez mourir dans l’année, que changeriez-vous dans votre façon de vivre ?
“Euh… C’est quoi cette question de merde ? Je vis déjà comme si j’allais mourir dans l’année. Entre ma maladie (hypercholestérolémie familiale) et les souffrances qui me prennent régulièrement, je vois pas comment je peux vivre vieux.”

   Q : Désolé de l’apprendre. Cela signifie-t-il que vous aimeriez voyager dans le passé pour ne pas tomber malade ?
“Comment aurais-je pu changer quoi que ce soit ? Non, je préférerais voyager vers le futur, quand il y aura des remèdes pour ce genre de choses. ”

   Q : Je comprends. Mmh… Peut-être aurions-nous dû commencer par là mais comment vous décririez-vous en 3 adjectifs ?
“Quoi ?! Seulement trois ?! Ouh ! Vous m’en demandez de ces trucs… Avant toute chose, je dirais “lunatique” car j’ai tendance à passer d’une émotion à l’autre sans transition. On m’a même fait part une fois que j’étais difficile à gérer à cause de ça, mais même si j’essaie de faire attention, je peux rien y faire. Ensuite “loyal”,  car je suis pas le genre de personne qui peut trahir les autres juste pour un oui ou pour un non. Même en étant énervé, je sais encore faire la différence entre la loyauté et la trahison, quoi qu’on en dise. Et je le suis notamment envers le gang qui m’a accueilli à bras ouvert quand je leur ai proposé mon deal. Pour finir… “rancunier” car j’ai horreur qu’on me fasse quelque chose en pensant s’en sortir sans conséquence. Je veux que la personne qui me fait du mal comprenne ce que j’ai ressentis à ce moment et je ferais tout pour qu’elle ait des regrets.”

   Q : Je vois. Dans ce cas, quelle erreur de jugement font les gens qui ne vous connaissent pas ?
“Ils me jugent trop vite en pensant que je suis une personne qui ne fait pas attention à ce que les autres pensent et que je suis capricieux. … Il y a bien d’autres choses, mais ce qu’il faut retenir c’est que mon caractère est difficile à supporter et qu’on me le fait très souvent comprendre.”

   Q : Je constate que vous êtes un peu plus ouvert à nos questions. Du coup, je vais vous poser celle-là : de quoi avez-vous besoin pour être heureux ?
“*Regard mauvais* Vous êtes sérieux, là ? Bon sang… Ce qui me rendrait heureux… c’est de retrouver la quiétude de mon enfance, avant que mon père ne disparaisse. C’était la période la plus heureuse de ma vie, la moins douloureuse aussi. Du coup, je serais heureux si je pouvais vivre à nouveau comme ça.”

   Q : Une quête bien difficile, ma foi. Je vous souhaite de retrouver ces moments de bonheur. Puisque nous parlons de votre enfance, quel est le meilleur souvenir de cette période ?
“Je dirais… les repas quand nous étions tous les trois, mon père, ma mère et moi. Nous pouvions rire, raconter nos problèmes, parler de tout et de rien… Même si j’étais vraiment très jeune, je sens que c’était un moment heureux. Ma mère me disait que c’était magique d’être tous les trois et… … Pourquoi je vous raconte tout ça, d’abord ?!”

   Q : J’imagine que si vous pouviez rester toute votre vie au même âge, ce serait celui-ci ? Celui de cette période heureuse ?
“Evidemment !”

   Q : Cela m’amène également à une autre question : quelle relation avez-vous avec vos parents ?
“Je n’ai pas connu mon père… Enfin, plutôt je n’en ai pas grand souvenir puisqu’il a été porté disparu alors que j’étais à peine âgé de 4 ans, laissant ma mère seule, sans emploi, avec un môme sur les bras. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais s’il s’avère qu’il l’a abandonnée, je suis à peu près certain de lui refaire le portrait quitte à être châtié pour ça. Quant à ma mère… … Je ne sais pas trop si j’en veux à ma mère ou non pour ce qu’elle a fait. Etant gamin, je disais beaucoup de mal d’elle car j’ai vécu un véritable enfer en tant qu’expérience, sans parler des conséquences qui me retombe dessus depuis. Mais, maintenant que j’ai grandi, que je dois vivre par moi-même, je peux comprendre qu’elle n’ait pas pu gérer un gosse aussi jeune par ses propres moyens. Je ne sais même pas si elle a survécu…”

   Q : Je suis désolé, je ne pensais pas que tout cela serait difficile pour vous. Si vous deviez écrire tout ce qui vous est arrivé jusqu’à présent dans un livre, pensez-vous que les gens voudraient le lire ?
“Seulement s’ils sont friands d’horreur, voire psychopathes, je dirais. Enfin, surtout pour une partie de mon enfance. Après, je ne pense pas que ce soit quelque chose d'intéressant à lire. Peut-être qu’un jour ce sera différent, mais en attendant ma réponse est… non.”

   Q : Je comprends. Pouvez-vous me dire quel est votre but dans la vie ?
“J’ai pas déjà répondu à cette question ? Mon but est d’atteindre mon objectif. … Et potentiellement guérir de toutes les merdes qui m’ont été refilées y’a des années !”

   Q : Désolé que cette question se soit révélée redondante, Angelo. Oh ! Mais dites-moi, Quelle est votre plus grande peur, voire une faiblesse, dans cette vie ?
“Pourquoi vous avez l’air heureux de poser cette question merdique ? … Une faiblesse et une peur… Pour faire court, je dirais que ma faiblesse réside dans mes souffrances et ma maladie. Quant à ma plus grande peur… J'aurais tendance à dire que j’ai du mal à supporter tout ce qui peut me rappeler le Laboratoire : les piqûres, les scalpels, les machines et même les blouses blanches. Dans chacun de ces cas, je pense que je peux paniquer…”

   Q : J’imagine que cela ne doit pas être simple tous les jours. Merci beaucoup d'avoir répondu à ces questions qui ont dû être difficiles pour certaines. Normalement, les prochaines seront plus joyeuses.
“Y’a intérêt… ”


Fun facts
   Q : Nous allons continuer cette interview avec quelques anecdotes vous concernant. Ainsi, nous aimerions savoir quel est le super-pouvoir que vous aimeriez avoir.
“Ça peut paraître un peu égoïste, mais j'aimerais pouvoir guérir de toutes les maladies et souffrances qui me sont imposées. …  Et si je devais le faire pour les autres, ce ne serait pas plus mal non plus, je pense.”

   Q : Un pouvoir de guérison donc, N’est-ce pas ? C’est très intéressant ! Du coup, J’imagine que votre dicton préféré à un lien avec cela, N’est-ce pas ?
“Et pourquoi ce serait le cas ?! C’est n'importe quoi votre logique ?! Mon dicton préféré serait plutôt : la vie est trop courte pour s'attarder sur des conneries.”

   Q : J’imagine que vous l'avez un peu remanié à votre sauce. Et auriez-vous un mot favoris ?
“Non, mais un second dicton qui est qu’on n’a rien sans rien.”

   Q : Oui, ces deux dictons vous correspondent plutôt bien à mon avis. Si vous pouviez apprendre à faire quelque chose de nouveau, que choisirez-vous?
“J'aimerais beaucoup apprendre à lire et à écrire. De cette façon je pourrais être encore plus utile au gang que je peux l’être actuellement.”

   Q : J’imagine que cela aurait également un lien avec votre métier idéal, N’est-ce pas ?
“Qu'est-ce qui vous fait croire que je n'ai pas déjà un métier qui me plaît ? Certes, j'aimerais pouvoir faire d'autres activités au sein du gang, mais on n’a pas toujours ce qu’on veut dans la vie. Tout comme je ne changerais ma place pour rien au monde.”

   Q : Je suis jaloux de votre détermination. Avez-vous cela avec votre animal préféré ?
“Je ne sais pas si les chats sont déterminés, mais j'aime leur liberté, leur indépendance et le fait qu’il puisse passer du contentement à l'agacement sans préavis. En cela ils me ressemblent et ça m'aide à me dire que je suis pas le seul à être comme ça.”


Histoire

   Q : Ainsi donc nous allons désormais vous poser des questions sur votre passé, maintenant que nous vous connaissons mieux.
“En vérité, vous n’êtes qu’une bande de menteur, N’est-ce pas ? Vous aviez dit que vous ne poserez plus de questions aussi compliquées que celles d’avant.”

   Q : Il est vrai que j’ai dit quelque chose comme ça avant. Mais il faut que nos lecteurs puissent comprendre comment vous êtes devenu l'homme que vous êtes aujourd’hui. Voilà pourquoi je vais commencer par vous poser une question très simple : Quel jour êtes-vous né et qui sont vos parents ? “Je suis né le 8 décembre 2167. Ne me demandez pas l'heure ou le lieu exact, je ne les connais pas. Par contre, mes parents sont Raul et Frida Romero.”

   Q : Pouvez-vous nous parler un peu plus amplement d'eux ? Par exemple, leur métier, s'ils sont mariés ou même s'ils vous ont fait des frères et sœurs…
“De ce que j’ai pu comprendre, il étaient mariés. Ma mère s'est toujours occupée de moi et n’est jamais sortie sans moi de la maison donc je suppose que son travail consistait à me garder. Concernant mon père, elle m’a dit qu’il a disparu alors qu’il travaillait dans les réacteurs de la ville. J’en sais pas plus. De même que s'ils avaient d'autres enfants que moi je ne les ai jamais rencontrés.”

   Q : Merci d'avoir fait cet effort de nous parler de ces êtres chers disparus. En parlant disparition, à quelle date a disparu votre père et comment a réagi la famille à cela ?
“Vous m’en posez de ces questions ! Pfff…  C’était quand déjà ? En mai 2171 je crois…  J’avais trois ans donc j’en ai aucun souvenir. Mais vu c’qui s'est passé ensuite, il est pas difficile de deviner que tout le reste de la famille nous a abandonnés, ma mère et moi. Allez savoir la raison derrière tout ça.”

   Q : Vous ne la connaissez pas.
“Comment voulez-vous que je la connaisse ? Je ne les ai pas revu par la suite et à l’époque j’étais bien trop petit pour qu’on m’en parle. Et même si ma mère l’a fait, je n'aurais pas pu m’en rappeler. Mais je peux supposer qu’ils ne nous aimaient pas, tout simplement.”

   Q : Je comprends. Je peux voir dans mes fiches que vos parents, en 2167 vivaient dans les plateaux. J'imagine que vu sa situation votre mère n’a pas pu continuer sa vie comme avant…
“Bravo Sherlock ! Vous avez deviné ça tout seul ? Bien sûr que ma mère ne pouvait pas rester là-bas vu les prix exorbitants qui sont demandés et le fait qu’elle m’avait sur les bras.”

   Q : C’est pourquoi, en novembre 2171 votre mère est allée au laboratoire avec vous. Pensez-vous que son but était de vous vendre, de base ?
“J'espère bien que non ! Non mais vous avez de ces questions, vous !”

   Q : Dans ce cas, passons à vous. Qu'avez-vous vécu au laboratoire ? Et quels sont les changements qui en ont résultés ?
“Ben un mois plus tard j’y ai vécu mon quatrième anniversaire. LOL ! Et pas que celui-là, d’ailleurs. Durant toutes ces années, ils ont fait des expériences sur ma tolérance à la douleur, des modifications de mon ADN, des tests de médicaments… Que de la merde pour permettre aux pequenos du Plateau de mieux vivre pendant que dans les Bidonvilles il est même difficile de manger ! Du coup je me retrouve avec des douleurs “malignes”, des cicatrices partout, des cheveux violets, fuchsias ou je sais pas trop quoi, et, pour couronner le tout, de l’hypercholestérolémie familiale. Le fond du fun ! ”

   Q : Au début de votre réponse précédente, vous laissez entendre que vous êtes resté longtemps au laboratoire. Mais à quel âge l'avez-vous quitté exactement ?
“On m’a jeté du laboratoire le 26 novembre 2176. Je me souviendrais encore longtemps de l'attitude de ces *** de scientifiques. Ils en avaient absolument rien à foutre de laisser un enfant de huit ans seul, dans les rues du bidonville, alors qu’il pouvait mourir à n'importe quel moment à cause de la maladie qu’ils lui ont refilé. Si je les retrouve… !”

   Q : Effectivement, ils ont cruellement manqué d'empathie à votre égard. Que vous est-il arrivé après ça ?
“Je suis resté un mois dans la rue, à survivre comme je pouvais. Du coup, j’avais neuf ans, sûr, quand quelqu'un m’a trouvé et m’a emmené dans un orphelinat où il était bénévole.”

   Q : Accepteriez-vous de nous donner le nom de cette personne et ce qu’elle faisait à l'orphelinat ?
“Il s'appelle Connor et il est bénévole à l’orphelinat. Du coup, quand il pouvait, il venait s'occuper de nous, nous apprenait des trucs et autres…”

   Q : Je vois que vous vous entendiez relativement bien avec lui. J'imagine qu’il ne faisait pas que vous surveiller ?
“Ben, avec d’autres, il a tenté de retrouver mes parents, même si les recherches se sont arrêtées bien trop vîtes à mon goût, et ils ont commencé à me donner des traitements pour ma maladie à la con. Sinon, je vois pas où vous voulez en venir avec votre question…”

Q: Ne vous en faites pas, vous y avez parfaitement répondu. Combien de temps êtes-vous resté à l’orphelinat ?
“Eh bien…  Ça fait pas longtemps que je suis sorti de l’orphelinat en fait. Dès que j’ai eu 18 ans.”

   Q : Aviez-vous un but précis lorsque vous avez quitté l’orphelinat ?
“J’ai entendu parler du gang hispanique, Garduña, quelques années avant ma majorité. Je ne savais pas quoi faire de ma vie parce que la maladie à la con qu’on m’a refilé m'empêche de faire par mal de truc et, en plus de ça, dans les Bidonvilles, c’est pas comme si y'avait du travail à tous les coins de rue. Alors, j’me suis renseigné sur ce qu’ils faisaient, quels liens ils ont avec les autres mafias, ce qu’ils demandent à leurs membres et tout le reste. Ils m'ont plu alors je suis allé les trouver.”

   Q : J’imagine que le fait qu’ils soient dans le trafic de médicaments à dû aider à faire votre choix, n’est-ce pas ?
“Faut pas être devin pour le comprendre.”

   Q : Oui, vous avez raison. Du coup, comment vous êtes-vous présenté à eux ?
“Je suis allé voir un responsable dès qu’on m’en a donné l’occasion, après des demandes répétées. Puis, là, je leur ai offert mes services en échange de soins pour éviter que je crève dans les jours à venir.”

   Q : Ont-il accueilli votre demande à bras ouvert ?
“Comment le saurais-je ? J'suis pas dans leur tête ! Mais j’ai pu entrer et c’est tout ce qui m’importe.”

   Q : Oui, j’imagine… Et maintenant, quelle place avez-vous au sein de la mafia espagnole ? Quel genre de tâches vous confie-t-on ?
“Je suis un p’tit nouveau, un Chivatos, comme on dit. Vu mon statut dans le gang, on m’donne pas des tâches de grande importance. Au début, j’ai demandé à intégrer un groupe d’action.”

   Q : Au vu de la façon dont vous le mentionnez, j’imagine que cela n’a pas duré bien longtemps.
“J’ai envie de vous claquer quand vous êtes aussi perspicace…  Mais, nan, ça n’a pas duré longtemps…  Juste assez pour me laisser capoter une mission et qu’on me fasse faire du tri et d’autres tâches où je peux faire une crise…”

   Q : Oui, votre maladie n’a pas dû vous aider dans votre tâche. Où vivez-vous aujourd’hui ?
“Dans le bidonville avec un membre de la mafia. Et, cette fois, me demandez pas son nom ou je vous en fout une.”

   Q : Très bien, merci de me prévenir. Et, également, merci pour votre patience et vos réponses. J'espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de l’indiscrétion de certaines de mes questions.
“... Merci de me laisser partir, maintenant.”


Ryne
100
Autre(s) compte(s) ? : Aucun pour le moment :D
Comment as-tu connu le forum ? : La fonda est une bonne amie
Avatar : Rin Matsuoka - Free !
Autre chose ? : Enfin !!!! Je vous nem <3
sherlock pour mideel
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Angelo Romero || Quelle sera ton humeur aujourd'hui ? A19
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Angelo Romero || Quelle sera ton humeur aujourd'hui ? A19Gouverneur/Fondateur68


Tu es VALIDÉ(E)
Coucou toa, je te valide le jour de ton anniversaire, si c'est pas beau ça  Angelo Romero || Quelle sera ton humeur aujourd'hui ? 993750239 :

J'aime beaucoup ta mise en page avec les interviews ! On en découvre beaucoup sur Angelo avec des informations réparties ça et là au lieu que ce soit tout un bloc de texte et en plus, y a des passages qui m'ont fait rire, tmtc. Décidément Angelo est vraiment un petit pipou à protéger et j'ai déjà hâte de rp avec lui et qui tu sais d'autre, que de mystères dans ce message rfhjeidklz.

Le contexte est tellement bien compris et intégré, on voit que tu as lu les annexes et je suis, on ne peut plus ravie, de voir que tu as parlé du tatouage sur la main ! L'Implant obligatoire est aussi présent, c'est tout ce qu'on demande. Angelo Romero || Quelle sera ton humeur aujourd'hui ? 1497751874

Comme Angelo est une expérience et possède aussi un numéro de matricule sur le poignet, celui-ci est délivré par le staff, voici le sien : 00607A

Je mets tous les liens à ta disposition dans le cadre ci-dessous. Si tu as une quelconque question, n'hésite pas à MP le Gouverneur qui se fera une joie de te répondre, seulement si tu as un bon compte en banque /pan/

→ Toute la partie administrative chiante est recensée automatiquement par le staff, car on est masos et qu'on a raté notre BEP secrétariat.


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