Annbrand
"L'avenir de la vie c'est la mort" | Annbrand Ven 13 Aoû - 3:08
ANNBRAND
« L'avenir de la vie c'est la mort. »
Âge : 27 ans (2222)
Genre : Homme
Métier : Esclave
Taille : 1m62
Corpulence : corps fin et frêle pouvant être confondu avec celui d’un jeune adolescent ou d’une femme. Il pèse environ 43kg.
Cheveux : verts, coupés courts
Yeux : verts
Signe(s) particulier(s) : cicatrices, brûlures et hématomes suite aux mauvais traitements subis depuis qu’il est dans les laboratoires de Mideel. Il a également deux tatouages : l’un est fait par son ancien maître et est la cause de nombreuses souffrances dans le bas du dos tandis que l’autre n’est autre que son numéro d’identification en tant qu’expérience et esclave sur le poignet.
Plateau / Bidonville : Plateau
Secteur : 3
Implant : Oculaire
Traits de caractère
A l’écoute, doux, loyal
D’autres sont à découvrir même par lui-même.
D’autres sont à découvrir même par lui-même.
Angoissé, Défaitiste, Docile, Indécis, Introverti, Maladroit, Nerveux
Description
Je ne connaissais pas mon apparence avant de vivre chez mon maître.
A quoi est-ce que je peux bien ressembler ?
Qui suis-je ?
Les questions ont été reléguées au second plan.
Je n’ai pas le temps de penser.
Je peux me voir tous les matins quand je m’occupe de mon maître.
Mon image m’effraie.
Mon corps est maigre. On peut le voir assez facilement.
Mes joues ne sont pas creuses.
On peut voir mes os à travers ma peau blanche.
La nourriture est rare. Sans goût.
Mes yeux sont verts. Comme l’herbe que je vois parfois sur le bord de la route.
La peau en dessous est noire.
J’ai beau la laver, elle restera comme ça. Pas besoin de frotter pour le savoir.
Le sommeil me fuit.
Les cauchemars sont présents toutes les nuits.
Mon maître peut me réveiller.
Mes cheveux vers sont coupés plutôt courts.
La coupe est totalement irrégulière.
Je les lave quand je peux.
Un numéro, mon nom, est tatoué sur mon poignet.
Mon maître m’a renommé Annbrand. Il me donne aussi d’autres noms.
J’obéis à mon maître.
Ses ordres sont absolus. Contradictoires. Dégoûtants. Déroutants. Douloureux.
Ses gestes n’ont aucune douceur avec moi.
Je dois quand même faire ce qu’il me dit. Sans détour.
Les autres personnes sont aussi des maîtres ou des supérieurs.
Je n’ai aucun droit.
La souffrance est perpétuelle.
J’ai besoin qu’elle cesse.
Il n’existe qu’une solution.
Je n’y ai pas le droit non plus.
Le monde est effrayant. Sans couleur. Sans saveur. Horrible. Douloureux.
Fun facts
Amnésique sans possibilité de se rappeler quoi que ce soit à cause des expériences subies | Son frère a payé la mafia chinoise pour le faire disparaître | Ardven est le nom du maître qui l’a eu avant Logan | A une vue légèrement amoindrie qui devrait être corrigée avec des lunettes de repos | “Tatouage” sur le bas du dos fait par Ardven au fer rouge et colorié de manière si peu professionnelle que c’est la cause de grandes souffrances | Obéis à tout le monde tant que ça n’entre pas en contradiction avec ceux de Logan | N’a plus le sens du goût | Croit en une force supérieure qui régit le monde | Était un danseur plutôt connu dans le monde du spectacle | A failli devenir acteur de films | A ressenti un sentiment extrêmement positif pour Logan la première fois qu’il l’a rencontré avant de le détester dans sa peur de lui | Ne ressemble plus du tout à l’homme qu’il était par le passé | Son ancien nom est Noah Welch
Histoire
Je suis une page blanche.
La première chose dont je me rappelle est la vue de ces personnes en blouses parlant d’une manière que je n’ai pas tout de suite comprise. Un peu comme si tout un flot de paroles se déformaient à cause de l’eau m’entourant.
Je les ai regardés.
Ils m’ont observé.
Puis, le cauchemar a commencé.
Ces personnes nommées scientifiques se sont occupées de moi avec des aiguilles, des tests et en m’enfermant dans une sorte de cuve. La douleur était parfois intense. D’autres fois, elle était totalement absente. On me touchait seulement si cela était nécessaire.
Tout le monde était traité ainsi.
J’étais le seul qui ne savait rien.
“Tu es bizarre.”
Cette phrase était courante pour me définir quand on voulait bien parler avec moi de ce qui se faisait ici. Mais je ne comprends pas ce qui est étrange. C’est tout ce que j’ai connu depuis que j’ai ouvert les yeux pour la première fois.
Et tout a changé.
Le temps a toujours été déformé. Une valeur méconnue.
Les scientifiques m’ont laissé, abandonné, à d’autres personnes.
Mon numéro a changé. Mon nom a changé.
La souffrance a doublé. Elle est incessante depuis ce jour-là. D’abord puissante et insupportable entre les mains d’un homme qui m’a fait forte impression. Il devait faire de moi un objet docile. Un objet à vendre. Un objet avec une valeur variable selon l’utilité que j’ai et le client qui me voudrait.
Je n’étais pas seul.
Je ne connaissais personne.
Je les ai tous quittés pour aller avec mon maître. Le premier. Le seul, avais-je pensé en le suivant.
La douleur est devenue invivable à partir de ce jour-là.
“Je veux mourir…”
C’était ma pensée constante.
A tout instant, elle me poursuivait inlassablement.
Chacun des traitements de cet être nommé “maître” faisait naître en moi autant de souffrance que de cauchemars. Il existait en cela des similitudes avec l’éducation subie au sein de la mafia chinoise qui m’a vendu à ce monstre.
Je déteste la couleur bleue.
Je haie la vie.
Ce monde n’est que souffrance.
Maintenant que je suis de retour dans cette prison, brisé, jeté comme un déchet ou une antiquité sans aucune utilité, je ne veux plus qu’une chose.
“Tuez-moi…”
Mon vœu n’est pas entendu.
Tout le monde s’en fiche.
Mon destin est à nouveau entre les mains de mes bourreaux perpétuels.
Celui qui me choisit parmi d’autres esclaves plus volontaires que moi n’est autre que celui qui m’a éduqué. Je ne l’avais pas vu depuis longtemps.
Il me dégoûte.
Chaque jour un peu plus, il me tue un peu plus depuis qu’il a mis la main sur moi.
Je suis son jouet.
Je suis son esclave.
Je suis son animal de trait.
Je suis…
Mon devoir est de répondre au moindre de ses désirs. Les désirs inconstants de ce maître colérique.
Finalement, après tout ça, même si je vis, je suis comme mort.
Une page blanche qu’on a coupée jusqu’à ce qu’il n’en reste que des lambeaux.
La première chose dont je me rappelle est la vue de ces personnes en blouses parlant d’une manière que je n’ai pas tout de suite comprise. Un peu comme si tout un flot de paroles se déformaient à cause de l’eau m’entourant.
Je les ai regardés.
Ils m’ont observé.
Puis, le cauchemar a commencé.
Ces personnes nommées scientifiques se sont occupées de moi avec des aiguilles, des tests et en m’enfermant dans une sorte de cuve. La douleur était parfois intense. D’autres fois, elle était totalement absente. On me touchait seulement si cela était nécessaire.
Tout le monde était traité ainsi.
J’étais le seul qui ne savait rien.
Cette phrase était courante pour me définir quand on voulait bien parler avec moi de ce qui se faisait ici. Mais je ne comprends pas ce qui est étrange. C’est tout ce que j’ai connu depuis que j’ai ouvert les yeux pour la première fois.
Et tout a changé.
Le temps a toujours été déformé. Une valeur méconnue.
Les scientifiques m’ont laissé, abandonné, à d’autres personnes.
Mon numéro a changé. Mon nom a changé.
La souffrance a doublé. Elle est incessante depuis ce jour-là. D’abord puissante et insupportable entre les mains d’un homme qui m’a fait forte impression. Il devait faire de moi un objet docile. Un objet à vendre. Un objet avec une valeur variable selon l’utilité que j’ai et le client qui me voudrait.
Je n’étais pas seul.
Je ne connaissais personne.
Je les ai tous quittés pour aller avec mon maître. Le premier. Le seul, avais-je pensé en le suivant.
La douleur est devenue invivable à partir de ce jour-là.
C’était ma pensée constante.
A tout instant, elle me poursuivait inlassablement.
Chacun des traitements de cet être nommé “maître” faisait naître en moi autant de souffrance que de cauchemars. Il existait en cela des similitudes avec l’éducation subie au sein de la mafia chinoise qui m’a vendu à ce monstre.
Je déteste la couleur bleue.
Je haie la vie.
Ce monde n’est que souffrance.
Maintenant que je suis de retour dans cette prison, brisé, jeté comme un déchet ou une antiquité sans aucune utilité, je ne veux plus qu’une chose.
Mon vœu n’est pas entendu.
Tout le monde s’en fiche.
Mon destin est à nouveau entre les mains de mes bourreaux perpétuels.
Celui qui me choisit parmi d’autres esclaves plus volontaires que moi n’est autre que celui qui m’a éduqué. Je ne l’avais pas vu depuis longtemps.
Il me dégoûte.
Chaque jour un peu plus, il me tue un peu plus depuis qu’il a mis la main sur moi.
Je suis son jouet.
Je suis son esclave.
Je suis son animal de trait.
Je suis…
Mon devoir est de répondre au moindre de ses désirs. Les désirs inconstants de ce maître colérique.
Finalement, après tout ça, même si je vis, je suis comme mort.
Une page blanche qu’on a coupée jusqu’à ce qu’il n’en reste que des lambeaux.
Ryne
Autre(s) compte(s) ? : Angelo Romero & Bethany Williams
Comment as-tu connu le forum ? : La fonda est une personne très importante pour moi hihi !
Avatar : Rantaro Amami | Danganronpa
Autre chose ? : Venez nombreux !!!!
Comment as-tu connu le forum ? : La fonda est une personne très importante pour moi hihi !
Avatar : Rantaro Amami | Danganronpa
Autre chose ? : Venez nombreux !!!!
sherlock pour mideel
Milo Janssen
We makes Rules
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Étudiant Codeur Programmeur Technique - Département des médias et des nouvelles technologies
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Re: "L'avenir de la vie c'est la mort" | Annbrand Ven 13 Aoû - 3:27
Petit bichon